Leur dernier concert remontait à 2004. On les croyait dissous à jamais… et l’on avait tort. Heureusement ! Aujourd’hui, zoom sur le retour inespéré des Libertines, groupe dont tu entendras peut-être quelques mélodies lors de ton prochain séjour linguistique à Londres.
Un groupe fondé par Carl Barât et Pete Doherty
Pour mieux comprendre la réunion, mieux vaut commencer – c’est logique – par la création du groupe. Celui-ci voit le jour en 1997. Nous sommes dans la capitale du Royaume-Uni, métropole unique que tu auras la chance d’explorer au cours d’un séjour linguistique à Londres, et quatre garçons choisissent de mêler leurs influences garage rock, indé, punk et lo-fi au sein d’un même groupe. Les noms des deux maîtres à penser de la nouvelle formation ? Carl Barât et Pete Doherty.
Up the Bracket…
Cinq années plus tard, The Libertines – c’est le nom choisi –, déjà plutôt rodé aux scènes anglaises, conquiert l’ensemble du pays… et même au-delà des frontières de celui-ci. C’est l’heure du premier album studio, intitulé Up the Bracket. Porté par le titre éponyme et par le single Time for Heroes, l’opus fait l’objet de critiques élogieuses.
… puis The Libertines
En 2004, le groupe, emmené par ses deux charismatiques leaders, persiste et signe. Avec un album sobrement intitulé The Libertines et les tubes Can’t Stand Me Now et What Became of the Likely Lads, les quatre garçons prouvent qu’ils font définitivement partie de ceux sur qui il faudra désormais compter. Hélas, les absences à répétition de Pete Doherty, couplées à d’autres facteurs, poussent Carl Barât à dissoudre le groupe. Ce dernier consacrera son temps à une autre formation, Dirty Pretty Things. Pete Doherty, quant à lui, fondera les Babyshambles.
Anthems For Doomed Youth
Après plus d’une décennie d’absence, les Libertines sont de retour, avec un 3ème et très attendu album baptisé Anthems For Doomed Youth. Envie d’en écouter un extrait avant ton prochain séjour linguistique à Londres ? Le single Gunga Din n’attend que toi !