Cette semaine, c’est d’un jeune auteur-compositeur-producteur d’outre-Manche que LEC a choisi de vous parler. Le jeune Tom Odell sort son premier album, intitulé Long Way Down.
Chef-d’œuvre ou catastrophe ?
Pour le coup, LEC s’abstiendra de porter tout jugement sur l’album et vous laissera vous faire votre propre opinion. Pourquoi ? Parce que côté critique, nos amis anglais ont fait dans le contradictoire – c’est le moins qu’on puisse dire ! D’un côté, Tom Odell remporte un Brit Award (récompense musicale délivrée annuellement : en d’autres termes, l’équivalent britannique des Grammy Awards américains), celui du Choix de la Critique 2013. De l’autre, Long Way Down est assassiné par NME, le plus influent des magazines rock d’Angleterre… Aïe, comment y voir clair dans tout ça ?
Une jolie bouille et une voix qui l’est tout autant
On pourrait très aisément ranger Tom Odell dans la catégorie des chanteurs pop mielleux se contentant de prononcer le mot love une fois par couplet pour vendre. Et puis la voix et le minois sont ce qu’ils sont, à savoir : très agréables.
Un album en demi-teinte avant son séjour linguistique en Angleterre
Reste peut-être une certaine monotonie dans ce Long Way Down qui aura au moins le mérite de vous mettre dans le mood avant votre séjour linguistique en Angleterre, si vous êtes amateur ou amatrice de pop. Histoire de vous faire une idée, LEC vous conseille Can’t Pretend, Hold Me et Another Love, les 3 singles sélectionnés pour lancer la promotion du disque et assez révélateurs de l’univers de jeune Tom Odell.